Votre panier est vide.
Dans un coin du plateau, posée en biais, Ma panière en osier attend le café. Entre deux plans, entre deux scènes, Elle calme la faim et les humeurs humaines.
Des barres de céréales, un vieux croissant, Un jus tiède oublié depuis longtemps, Des bonbons mous, du chocolat fondu, Et ce sandwich… mystère inconnu.
Le réal s’énerve, l’acteur a faim, Le chef op’ réclame son festin ! Mais qui sauve le film et l’équipe entière ? C’est moi, c’est elle, ma chère panière.
Car sans café, sans grignotage, Un tournage devient un naufrage. Alors vive l’osier, vive mon trésor, Sans lui, c’est la faim… et c’est la mort !
Pour ne rien rater de notre actualité
* Promis on ne va pas remplir votre boîte mail
Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.